Chez Acheel, la transparence et la pédagogie font partie de nos valeurs… et pas seulement en assurance ! Aujourd’hui nous allons vous parler d’un sujet qui nous tient à cœur et qui fait partie de nos projets : la compensation carbone volontaire ! En effet, nous mesurons, réduisons et compensons nos émissions de carbone pour avoir un impact vertueux sur l’environnement. On vous explique tout.


La compensation carbone : c’est quoi ?

Il s’agit d’une action qui vise à rééquilibrer la part incompressible de ses émissions de carbone grâce à des actions écologiques.

Plus simplement, l’entreprise ou l’organisation qui souhaite compenser son empreinte carbone investit dans  un projet écologique qui va absorber du CO2 pour compenser ses émissions inévitables.

Quel est le  but de cette compensation ?    

Devenir climatiquement neutre, et contribuer à l'effort global pour atteindre la neutralité carbone pour 2050, objectif des accords de Paris.  Une entreprise le devient quand elle compense toutes ses émissions à travers un projet de compensation carbone, certifié par  des labels reconnus. Chez Acheel, par exemple, notre initiative de compensation est certifiée avec le label Français bas carbone, mais il existe d’autres labels internationaux comme par exemple gold standard.

Le label bas carbone est un label français créé par le ministère de la Transition Écologique, qui certifie les projets de réduction et de séquestration du CO2.

Comment calcule t-on cette compensation ?

En investissant dans des projets de compensation carbone, on acquiert ce que l'on appelle des “crédits carbone”, qui correspondent à la quantité de tonnes de CO2 absorbée par le projet. Un crédit carbone vaut une tonne de C02.

Concrètement, chez Acheel, nous avons émis 36 tonnes de CO2 en 2021, et nous avons donc investi dans un projet de reforestation qui équivaut à 36 crédits carbone pour avoir une empreinte neutre.


Compenser sa pollution, est ce vraiment efficace ?

Compenser sa pollution, cela pose débat tout de même. Certains iront jusqu’à dire qu’il s’agit d’une forme de greenwashing , c'est-à -dire cacher ses actions polluantes en mettant en avant des actions écologiques. La compensation carbone pour certains est un moyen de trouver une excuse à certains comportements très polluants. Fort heureusement, cela ne concerne qu’une minorité d’acteurs, et toutes les entreprises qui s’impliquent dans des initiatives de compensation carbone ne sont pas concernées par ce greenwashing qui remet complètement en question l’honnêteté écologique d’une entreprise.

Il est utile de rappeler ici que, parler de “zéro carbone” sans mentionner les émissions carbones émises et les actions mises en place pour les réduire, est passible d’amende lourde depuis l’article 12 de la loi Climat et Résidence.

Une action obligatoire, donc ?

Aujourd’hui, les entreprises qui respectent le principe de compensation carbone le font généralement dans le cadre du protocole de Kyoto signé en 1997 et qui introduit la notion de compensation obligatoire et volontaire dans un objectif de réduction global des émissions de gaz à effet de serre (GES).

La compensation est majoritairement un acte volontaire aujourd’hui et n’est obligatoire que pour des groupes très polluants (environ 1000 entreprises en France), œuvrant par exemple dans l’industrie, l’aviation ou l’énergie. Comme vous l’avez sans doute compris, chez Acheel, nous ne rentrons pas dans cette catégorie et compensons de manière volontaire.

Pourquoi compenser quand on y est pas obligé ?    

Pour aller au bout de notre démarche engagée et écologique, après avoir fait notre bilan carbone, avoir sensibilisé nos équipes, et mis en place des actions concrètes pour réduire notre impact, la compensation carbone vient parachever notre démarche.

Cela permet de financer des puits de carbone et des projets à impact positif et de faire évoluer les mentalités et de contribuer à notre mesure à l’effort de compensation carbone planétaire .


Et chez Acheel ?

Chez Acheel, nous avons choisi la compensation carbone et nous nous efforçons chaque jour de faire en sorte que tous nos actes soient en cohérence avec ce choix. Nous avons une politique zéro papiers, nous calculons chaque année notre bilan carbone, nous utilisons du matériel reconditionné, nos bureaux sont peu énergivores et accessibles en transports en commun et notre modèle d’assurance sans agence ni produits physiques est par essence peu polluant.


Le projet choisi :  Le Bois de Joubert

Chez Acheel, nous avons fait le  choix de compenser notre empreinte carbone par conviction et non par obligation. Ce sujet nous tient véritablement à cœur !

Il existe différentes façons de compenser son empreinte carbone :

  1. les projets forestiers
  2. les projets liés à l’énergie renouvelable
  3. les projets qui portent sur l’utilisation rationnelle de l’énergie…

Notre choix s’est porté sur un  projet de reforestation labellisé bas carbone en France : le Bois de Joubert, dans le Loir et Cher.

Ce projet prévoit le boisement d’une ancienne terre agricole de 4 hectares, actuellement en friche principalement réalisé avec des résineux et une diversification de chênes divers. Les essences employées sont le pin maritime, le cèdre de l’atlas, le chêne rouge d’Amérique et le chêne pubescent. Ce projet a pour potentiel d’absorber 670 tonnes de carbone et cette forêt sera labellisée PEFC (forêt gérée durablement) et les travaux forestiers sont effectués par des entreprises locales.

Notre certificat de contribution carbone
L'un des arbres plantés sur le projet
Le terrain en friche, avant la reforestation. 

En parallèle, nous avons sorti il y’a quelques mois l’assurance auto et proposons à chaque  nouvel assuré auto de planter un arbre dans l’un de nos projets de reforestation, si vous avez envie d’en savoir plus à ce sujet n’hésitez pas à faire un tour par ici !

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